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Le scanner laser 3D : la garantie de la perfection pour le préfabriqué

18.01.23

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Le scanner laser 3D : la garantie de la perfection pour le préfabriqué

Pour l'entreprise Den Bouw Realisaties, de Wevelgem, la précision est un impératif. Mais pas la précision avec un petit « p ». Une précision parfaite. Et rapidement. Avec Topolaser, les gérants Benny Buyse et Dries Mahieu se sont donc mis en quête du complément adapté à leur station totale. Ils ont trouvé leur bonheur dans le scanner laser 3D Leica RTC360.

 

 

’Robuste, Astucieux, Sobre & Rapide

 

Den Bouw n’est pas une entreprise de construction traditionnelle. Active dans la construction basée sur des systèmes préfabriqués, l’entreprise s’est imposée comme le spécialiste incontournable du concept de construction 4S depuis 2015.

 

« 4S correspond à ‘Sterk, Slim, Strak & Snel’ (’robuste, astucieux, sobre & rapide’) », explique Benny Buyse. « Autrement dit, nous mettons en place des structures préfabriquées solides et stables à la vitesse de l’éclair. Non seulement des hangars et des halls d’usine, mais aussi des immeubles d’entreprises et des logements modernes. L’élément distinctif est le suivant : nombre de nos projets présentent un niveau de difficulté et de technicité qui n’est traditionnellement pas associé au préfabriqué. »

 

 

À la recherche d’une solution adaptée

 

Pour mener à bien ses projets toujours plus complexes, Den Bouw mise principalement sur une préparation et un suivi minutieux.

 

« Quand on travaille avec du préfabriqué, tous les problèmes potentiels doivent être visualisables dès la phase de préparation. Pour un nouveau bâtiment isolé, c’est relativement simple, mais dans notre cas, il s’agit souvent de structures ou de constructions complexes qui doivent s’intégrer à des éléments existants. Il faut alors bien savoir dans quoi on s’engage. Une marge d’erreur de quelques centimètres seulement est déjà préjudiciable. »

 

 

Jusqu’à récemment, De Bouw cartographiait les situations existantes principalement à l’aide d’une station totale. « Mais j’étais depuis un moment déjà à la recherche d’un moyen de rendre les relevés plus rapides et plus efficaces », explique Dries Mahieu, responsable du suivi des chantiers. « De fait, une station totale ne mesure que des points et il faut donc beaucoup de travail pour obtenir une vue globale d’une situation. Comme complément, j’avais donc déjà envisagé les drones ou la photogrammétrie, mais aucune de ces solutions n’offrait la précision nécessaire. Jusqu’à ce que, dans mes recherches, je tombe sur le site Web de Topolaser. J’ai pris contact et j’ai immédiatement reçu des conseils très avisés. »

 

L’appareil que Jochen m’a suggéré (le scanner laser 3D Leica RTC360) n’était certes pas la solution que j’avais envisagée au départ, mais c’était la bonne. »

 

Le RTC360 en pratique

 

Une démonstration par Jochen a suffi à convaincre Benny et Dries du potentiel de valeur ajoutée du RTC360 et l’achat a immédiatement suivi à l’été 2022. « Ce matin, j’ai encore arpenté un chantier avec cet appareil", explique Dries. « Bien qu’il s’agisse d’un projet très complexe, avec certaines parties existantes à conserver et d’autres à démolir, le travail a été bouclé en à peine deux heures. Même un géomètre aurait eu besoin de plus d’une journée de travail avec une station totale. »

 

 

La précision, combinée à la rapidité et à l’image très complète fournie par le RTC360, procure à Den Bouw plus d’un avantage concurrentiel notable. Benny : « Tout d’abord, nous pouvons adapter nos dessins d’exécution à la situation existante de manière parfaite. Même si une façade est convexe ou qu’une descente de gouttière gêne quelque part, nous le voyons. »

 

« Ensuite, nous pouvons optimiser encore davantage la séquence de travaux. En effet, nous pouvons parfaitement évaluer quelles parties existantes nous pouvons ou devons démolir et quand nous devons le faire pour que tout se déroule aussi rapidement et efficacement que possible. Enfin, nous cultivons la confiance. Si l’architecte estime qu’il y a une différence de niveau de 60 cm et qu’en venant la mesurer, nous nous apercevons qu’elle n’est que de 40 cm, le maître d’ouvrage voit que nous prenons notre travail au sérieux. »

 

"Nous entrevoyons encore beaucoup de potentiel supplémentaire dans le RTC360, dont des économies en matière de terrassement. Pour cela, Den Bouw souhaite essentiellement mieux exploiter le logiciel"

 

Un professeur parfait

 

Den Bouw entrevoit néanmoins encore beaucoup de potentiel supplémentaire dans le RTC360, dont des économies en matière de terrassement. Dries souhaite essentiellement mieux exploiter le logiciel.

 

 

« L’appareil en lui-même est relativement facile à utiliser, mais il faut quand même se familiariser avec le logiciel au fur et à mesure. Je dois admettre que les explications et le soutien de Jochen nous ont déjà permis d’aller loin. Il est clair, ciblé et toujours joignable pour des conseils. Je ne passe souvent qu’une heure par jour à mon bureau. Si j’ai un problème, je veux qu’il soit résolu en quelques heures. Et jusqu’à présent, Jochen y est toujours parvenu. En fait, il serait parfait comme enseignant ! »

 

Dries espère que d’ici un an, les dessinateurs de Den Bouw pourront travailler directement dans le nuage de points du RTC360.

 

« Aujourd’hui, je fais encore des coupes transversales du scan en 3D et je transmets ces dessins en 2D aux dessinateurs. Il est donc possible d’être encore plus efficace. Heureusement, nous pouvons compter sur les sessions de formation supplémentaires que Topolaser peut organiser à cet effet. Nous apprenons ainsi à tirer le meilleur parti de l’appareil, étape par étape. »